Montréal, fin de journée de fin du mois d'août.
Les batailles de post-it font rage dans les bureaux des boites branchées. Par exemple entre Ubisoft et Paribas.
C'est le genre de truc auquel on ne croit pas vraiment. On imagine un épiphénomène gonflé pour des revues de management qui cherchent à faire jeune. Et puis, dans le XVIIème, on sort faire ses courses et on tombe sur ça :
Parfois les télescopages d'information créent des dysfonctionnements cognitifs, qui, pour les plus chanceux, finissent dans une envie de remise à plat des politiques fiscales.
jeudi 8 septembre 2011
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