Port de Merak, Indonésie, île de Java.
L'accès au port est encombré.
Très encombré : 11 kilomètre d'embouteillage.
Depuis une semaine.
Les chauffeurs vendent leurs possessions pour acheter à manger. Témoignage de Surono, 35 ans, donné à l'AFP : «Cela fait trois jours que je suis coincé ici et la patience commence à me manquer. Je n'ai plus d'argent et j'ai dû vendre mon téléphone portable pour m'acheter à manger».
Pour débloquer la situation, les autorités ont envoyé des ferries. Ca va doucement. Ils font finir par vendre les chargements ou les pneus.
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