Dans les années 70 la France ne produisait pas suffisamment de vin de table pour assouvir sa consommation intérieure malgré les efforts du Carignan. Elle était contrainte d'importer de la bibine.
Une des innovations majeures de Madame de Lafayette dans l'art du roman fut l'abandon des confidents. Auparavant, pour connaître les secrets et les pensées des personages, il fallait que ces derniers se confient à quelqu'un. Hors dans la "Princesse de Clèves" point de confidents. L'auteure entre directement dans la psychée de ses personnages, écrivant ce qu'ils se disent, comme si elle lisait dans leurs pensées. Commentaires acerbes des critiques de l'époque sur le mode : mais comment l'auteur peut-il être au courant ?
Montblanc (les stylos) est une marque allemande.
mercredi 8 septembre 2010
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quand on passe d'un paragraphe à l'autre, c'est un peu confondant. des points de forme, ça pourrait être utile :P
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