lundi 14 juin 2010

Un groupe de travail de BP face à la marée noire

Désespérant de vérité.



Cela me rappelle un fait vécu. J'ai travaillé dans des programmes avec des cadres très dirigeants d'une compagnie pétrolière. Nous passions une semaine avec eux dans de beaux hôtels.

Je me souviens d'un échange avec l'un d'entre eux, un poète. Durant l'après-midi l'échange avait porté sur le développement durable. Le soir au dîner, conclusion du bonhomme, lequel s'enorgueillissait de cultiver une centaine de sortes de roses dans son jardin : "Je préfère préserver une sorte de rose dans mon jardin que cent races de fourmis en Amazonie". On ne pouvait mieux résumer l'état d'esprit général.

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